Bien le Bonjour. :3
C'est à mon tour de poster mes misérables oeuvres.
Ce ne sont que quelques vers gribouiller dans des moments de "désespoir" pour la plus part.
Pour les lettres, je n'en posterais que deux pour le moment. Fiction ou Réalité ? Ca reste secret.
M'enfin, dites moi ce que vous en pensez s'il vous plait. =)
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D’une fille à son père.Quelque part sur Terre. Papa,
Tu ne liras jamais cette lettre, pour la simple raison que je n’ai pas ton adresse, ça fait maintenant 5 ans, cinq longues années sans nouvelles de toi, tu es peut être mort… Mais je ne veux pas me faire à cette idée, pour moi tu vis, tu es heureux et tu me cherches. C’est ce qui me tient en vie, savoir que peut-être tu regrette d’être partit si vite sans même un au revoir à ta fille unique. As-tu d’autres enfants ? Je ne le serais jamais. Je veux simplement te dire à travers ses lignes que tu ne liras jamais, à quel point ton absence me fait mal, j’aurais besoin de conseil d’un homme. Tu étais pour moi l’homme parfait… Mais je me suis trompé, un homme parfait ne s’en va pas comme ça, il ne laisse pas sa famille seule. Maman a beaucoup pleuré mais elle s’en est remise. Elle est très courageuse, elle a reporté toute son attention sur moi, aucun homme n’a partagé son lit depuis 5 ans. J’ai mal pour elle, elle me sourit mais je sais combien ses sourires sont faux… Papa… Reviens s’il te plait. Je me souviens de ta voix mais ton image s’efface peu à peu de ma tête, j’essaye souvent de fermer les yeux et de t’imaginer mais je n’y arrive pas. Je me déteste de ne pas me rappeler, j’étais jeune mais tu étais tout pour nous. Toute la famille tournait autour de toi mais ça ne t’a pas empêché de partir. Je te hais, oui je te hais quand même pour ça. Je ne sais plus quoi te dire, surtout que tu ne liras jamais ses lignes. A quoi bon me casser la tête ? J’ai rencontré un homme parfait papa, il te ressemble sur certain point… Et j’ai peur qu’il me laisse comme tu l’as fait. Il est aussi doux et attentionné que tu l’étais avec moi, ta petite princesse, tu te souviens ? J’étais la deuxième femme de ta vie. Je m’en souviens moi. Jamais je n’oublierais, je chercherais ce week-end une vielle photo de toi. Je t’en pris papa, il faut que tu reviennes… Ma lettre s’achève sur ce caprice. Je t’embrasse du bout du monde. Je t’aime.
Ta fille.
A Paris, Ce 14 juillet 2008.
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D’une fille à son père.Quelque part sur Terre.Papa,
Il est partit.. Lui aussi m’a quittée. Il me promettait monts et merveilles mais il m’a laissé. Je suis seule. Je ne veux plus le voir, je ne veux plus te voir toi aussi ! Vous êtes tous lâche. Maman me console, du moins elle essaye. Mais elle ne peut comprendre. Tu sais, je l’aimais. Il était plus vieux, certes, mais il m’apportait la stabilité dont on a besoin. Il était loin tu sais ? Loin de moi mais pourtant si prés à la fois. Nous devions nous marier et tout ce qui va avec. Mais il m’a lâchement abandonné comme tu l’as fait. Je suis grande maintenant, j’ai compris. J’ai compris combien vous étiez lâches et combien vous aimez la liberté. Je pleure tous les soirs Papa. Il ne se passe pas une seconde sans que je pense à lui. A ses yeux, à ses lèvres, à ses « je t’aime ». Mais maintenant c’est finit. Il m’a dit je t’aime et c’est finit dans la même journée. Comme pour ne plus avoir à me supporter. Je croyais être assez bien pour lui mais il faut croire que non. L’amour est atroce parfois. Jamais plus, je ne pourrais aimer aussi fort. Même après plusieurs jours, je continue à pleurer. Je sanglote toute la journée et me mutile la nuit. Je veux que tu reviennes ! Apprends moi à être forte ! Je n’ai plus rien à te dire. Tu ne reviendras pas toi aussi… ~
Tu me déçois mais Je t’aime.
Ta fille
PS : As-tu oublié que je fête mon anniversaire aujourd’hui… ?
A paris, Ce 24 Octobre 2008
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J'ai décidé de vous dire,
De vous faire part de ma douleur.
J'ai essayé d'en parler mais je préfére écrire,
C'est ainsi que j'ai moins peur.
Je ne peux cesser de me taillader
Et d'admirer mon sang couler.
Pour moi c'est une libération
de me soumettre à la mutilation...
Pour certains d'entre vous c'est mal,
Mais comprenez ceux qui l'exercent.
Pour eux, plus rien ne les retient, Que dalle !
C'est de votre faute pas de la nôtre, ce n'est qu'un S.O.S.
Il m'avait dit qu'il m'aimait,
Puis il a préféré arrêter.
C'est à ce moment-là que j'ai pris goût,
A cet acte que vous regardez avec dégout.
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Noire est la nuit,
Je te cherche dans mes draps.
Le jour a fui,
J'ai beau chercher je ne te trouve pas.
Pas de lune pour moi,
Je cherche une trace de ton passage.
Je n'ai plus ma place auprès de toi,
Plus rien, comme après un carnage.
Ce soir sera la dernière nuit,
Mon ultime souffle avant le noir.
Si jamais tu lis ça, c'est que tout sera fini,
Tu auras loupé ta dernière chance de m'avoir.
Ne viens pas voir mes proches,
Ils ne te connaissent pas et ils souffriront assez.
Va-t-en, comme si de rien n'était, les mains dans les poches,
Comme un verre, ma vie s'est brisée.
Si seulement tu m'avais crue,
Mes sentiments étaient sincères.
Mais tu n'as pas voulu,
Me rayant de ta vie, mais de toi j'étais prisonnière.
Jamais tu ne me reverras,
Je ne te ferai plus de mal.
Je ne dormirai plus jamais dans tes bras,
Plus aucune de ces choses banales.
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C’est au pied d’un arbre, que notre amour à grandit,
Doucement mais sûrement, il a prit son temps.
Car je le sais, il ne voulais pas éclore sans garantit,
Rassurer, il a put grandir sans perdre de temps.
Beau, il est devenu jusqu’à un soir d’hiver,
Il faisait froid, nous ne l’avions pas couvert.
Sans prévenir, Notre amour est partit,
Il n’a pas attendu, il a quitté le nid.
Nous nous sommes retrouvé sans rien,
Comme un voyageur sans bagages.
Comme si nous nous étions trompé de train,
Puis après peu de temps, tout est devenu mirages.
Notre amour n’était plus, mais nous gardions espoir,
Cesser d’y croire ? Ce n’était pas pour nous.
Nous étions fort, rien ne nous faisaient peur, pas même le désespoir,
Notre amour n’est pas revenue, ce n’était pas pour nous.
Au pied de notre, je suis retourné,
Sans surprise je ne t’y es pas trouvé.
Tu vois, Tu as abandonné le premier,
Etre fort, tu prétendais l’être, mais sûrement pas assez.
J’attendrais le printemps prochain,
Pour voir si notre amour redescendra du train.
Je passerais mes nuits les yeux ouvert,
Pour être sur de ne pas le louper et de le laisser par terre.
Lorsque le printemps fut arrivé,
Notre amour je n’ai pas retrouvé.
Est-il perdu ? Peut être… Sûrement.
Il faudrait qu’on lui montre le chemin doucement.
C’est au pied d’un arbre que j’attend qu’il revienne,
Doucement mais sûrement je serais à nouveau sienne.
Je le sais, j’en suis sure, il reviendra.
Car sans lui, rien ne va.
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Ce n'est pas du grand art, je le sais bien.
Mais je voulais vous en faire part. =)