Milo Valerio ♣ Nouveau Rêveur ♣
Nombre de messages : 18 Age : 33 † Age Du Perso' : 17ans *o* † Profession : Mangeur de Carambars * * Date d'inscription : 27/10/2008
Feuille de personnage † Neko's/Maître: Pas de Maître :( SDF.. † Chambre/Logement: Euh, un panier ça compte ? * * † Relations:
| Sujet: Milo Valerio Lun 27 Oct - 22:42 | |
| ☆ Personnages:
☆ Avez-vous choisie un personnage prédéfinit : Non.
☆ Nom : Valerio.
☆ Prénom : Milo.
☆ Age : 17ans.
☆ Rebelle ou Docile : Docile.
☆ Orientation Sexuelle : Bi.
☆ Histoire :
"Milan villes des lumières, tu me verras donc mourir..."
La nuit m'enveloppait, comme une étrange sensation de voile sur mes yeux devenus humides. Des cris de plus en plus lointains, des larmes qui ne sont pas les miennes sur mes joues. Une douleur au cœur, une douleur au corps. Elles diminuent. Le froid est là, autour, les pavées humides m'encerclent en une prison que plus jamais je ne pourrais franchir. Une silhouette menue, accroupit au dessus de la mienne, déversant sa plainte lancinante sur mon corps presque inerte. Elle cri, elle pleure, serre mes oreilles de chat moites, serre mon cœur...
"S'il te plaît, ne meurs pas, pas encor, je t'en pris, reste, reste....tu verras, tu vas t'en sortir...tu verras…"
Non Marie, je ne vois plus, je ne fais que t'écouter sans ouvrir ma bouche, suis je donc à ma fin ?
25 Décembre 1991, 00h12, je suis né neko dans un haut quartier de Milan, à l'église Saint-Loriane en Italie. Ma mère, Nina, me choisit comme prénom Milo en l'hommage de mon père, mort deux mois avant mon arrivée. Il était scientifique, ainsi mon physique en fut changé… Mon enfance ? Je ne l'estimerais pas vide et ennuyeuse. Ma mère, riche héritière d'une famille de lignée noble nous installa elle et moi dans le manoir ancestrale situé à Venise. Je fus scolarisé comme tout enfant normale dans une école primaire dès mes 6ans. Maman, et je le voyais clairement, souffrait jours et nuits de ce père dont je n'ai vu le visage qu'en photos sur les meubles du grand hall. Je ne parvenais pas à lui dire des mots de consolations, sans doute n'avais je pas le vocabulaire pour. Quand on est qu'un enfant, on ne sait jamais vraiment trouver les mots pour parler aux grandes personnes. Je ne sais pas réellement pourquoi, dans mon école, je ne parvenais pas à me faire accepter au sein d'autres garçons ni même filles. Leurs jeux c'était le foot ou la corde à sauter, le mien c'était d’écrire sur ce qui m'entourait, sur la poésie, la nature et la beauté. Seul, le mot qui me contemplait dans mes journées à la Primaire. Les autres…ces autres qui vous jettent de la curiosité noire, ces autres qui vous juge, ces autres qui miaulent en ricanant. Ces autres je les haïssais. Ma mère, avide de protection envers ma pauvre personne ne supportait pas de me voir ainsi à l'écart et me changea de secteur pour le collège. Mais un garçon au profil de chat peut il être regardé sans appréhensions ? Cette fois ci, je me fis une amie, une seule. Ma meilleure amie. Elle se nommait Marie. C'était la personne la plus étrange que je n'ai jamais rencontré. Elle était différente, comme moi et se laissait à croire que les fées existaient et veillaient sur nous tout comme les anges. Nous avions nos jeux et nos secrets rien qu'à nous. Je puis grâce à elle m'introduire dans ce qu'on appelle la société urbaine. Jolie comme un cœur tous les regards de la gente masculine tournaient autour d'elle. Je ne voulais pas la partager, c'était ma Marie, mon ange, ma lumière et source de vie. Mais elle ne m’aimait pas de la même manière que moi. Dans mes années de lycée, je fus tout le temps avec elle, du moins, quand elle ne sortait pas faire des fêtes avec les autres. Mon année de Seconde nous fûmes séparés de classe. Elle eut des amours tout comme moi. Je fus épris d’un jeune homme mélancolique, il m'aimait autant que je l’aimais. Pourtant, satisfait je ne l’étais pas, il me fallait Marie, ma douce libellule, ma tendre fée. Je laissai de côté mes autres touches pour l'avoir elle. Cependant elle n'aimait que les beaux sportifs musclés du genre têtes de plouc et les militaires asservit à un devoir qui me semblait passif et absurde. C'est ainsi que je m’enrôlai dans l'armée à mes 16ans. Je partis un an au japon, terre de mes racines que j’affectionnais particulièrement, pour une guerre qui m'était inconnu. Pour la première fois de mon existence, je me montrais utile aux yeux du monde. Lorsque Marie apprit ce que je fis, elle fut partagée dans un avis de peur de me voir mourir et de fierté que je sois allé combattre pour une cause juste que je n'avais pourtant pas prit la peine d'observer et de comprendre. Je ne revins plus en Italie les mois suivants. On m'envoya en tant que capitaine pour aider les Américains en Irak et à regrets, j’abandonnai le japon ou je fis connaissance des mes grands parents paternels. Sans relâche, je me bâtis sans jamais savoir pourquoi je continuais. Marie, c'était sûrement cela ma raison. Me faire valoir à ses yeux. J'appris peu après mes 16ans le décès de ma mère dans un accident de voiture qui la conduisait au cimetière voir mon père. C'est à ce moment là que je désertai la patrie pour rentrer en Italie. Je restai à m'occuper des affaires de la famille, recevant toutes les semaines une lettre de menace de la troupe d'armée que j'avais au par avant dirigée. Je m'enfichais. Je ne voulais plus rien d'autre qu'elle, Marie. Son prénom me hantait, sa voix, son regard. Les mois passèrent et je restais au près d'elle la même chose idiote qu'avant, son frère, son meilleur ami. Le chagrin que me causa la perte de ma mère ne diminua pas et ne fit qu'augmenter nuits après nuits. Finalement, pour mon anniversaire, pour mon 17eme hiver, Marie m'invita chez elle. La soirée ne se passait qu'entre elle et moi. Elle m'offrit alors ce qui provoqua la perte de mon esprit dans un abysse de bonheur infinis. Son corps contre le mien, les draps nous protégeant. Sa peau si douce qui frôlait, touchait et brûlait la mienne. Je l’aimais, elle m'aimait. Elle me raccompagna ainsi à la porte quelques heures après, me laissant un dernier baiser sur la joue avant que je ne l'agrippe et l'emmène valser avec moi sur les pavées. Elle riait, un rire aux éclats de miel et de soleil. J'étais heureux, je l'étais...Des ombres, des voix roques, un coup de feu, deux coups de feux, trois, mes jambes me lâchèrent, la patrie que j'avais abandonnée repartit, sans doute vengeance apaisée.
"Milo...parle moi !! PARLE...tu vas t'en sortir, je suis là, je t'aime, Milo, ouvre les yeux,...Milo..»
J'étais là, au sol, mouillé, heureux de l'avoir connue. Sa main enveloppait ma joue, je voyais ma mère, je voyais mon père à ses côtés. Je voyais les champs de boue en Irak remplit de sang, je voyais les cerisiers du Japon. Je voyais son corps nu près du mien. Mon regard animé de flou allait l'oublier, plus de battements, plus d'ombres.
"Au revoir Marie..."
Un au revoir a-t il du sens lorsque la vie ne peut vous lâcher ? Un au revoir a-t-il du sens lorsque l’armée que vous avez cru voir se révèle être une escorte de marchands d’esclaves nekos ? Je n’étais plus vivant, en tout cas, plus à Milan. Lorsque je sortis de mon coma, j’étais en cage. Comme un chat. Et je devins alors…un vrai chat. Un sauvage, ne supportant plus rien. Mon passé je l’avais oublié. Je n’avait ni famille ni proches. J’étais Milo, neko destiné à un nouveau monde. Et me voilà amené ici…
☆ Caractère :
La neige, n'est ce pas ce qui pourrait représenter le mieux ce jeune homme aux aspects irréels ? Douce neige qui tombe, douce lamentation, une fraicheur de larme ou de vivre ? La neige, c'est lui. Ses souries éphémères et son visage morose se sied à la vapeur grisée des nuages. On ne lui porterait aucune attention dans la rue, sans doute parce qu'il se fond dans les pensées comme l'eau dans la terre...C'est un être au tempérament rêveur, presque surréaliste. Il ne vit pas dans le même monde que nous, ne porte pas d'intérêts à la vie des autres ni même à la sienne. Ce n'est pas un égoïste, je vous interdirais de dire une chose pareille. Il ne vit que pour ce qu'il aime. Aussi libre que l'air, on ne peut l'avoir entre ses mains ni même le garder à jamais. Son intelligence imbibée de savoir humanistes et théoriques ne peut être qu'insurmontable à toute épreuves. Aussi insaisissable que la brise qui coule dans l'air, Milo vis au jour le jour et en cueille l'instant présent. Carpe Diem ? Sans nul doute. Je ne serais moi même pas vous le décrire précisément. Il aime l'orage et les goutes d'eau qui ruissèlent sur la peau des humains. Il aime les livres et l'odeur d'une pièce ampli de sérénité. L'a t- on déjà vu s'emporter ? Non. La colère il ne l'exprime pas et l'enfouis en lui aussi bien que dans des sables mouvants. Pardonnez-moi si je ne puis vous dire plus de détails sur sa personnalité hors du temps. Peut être auriez vous la chance de la découvrir plus amplement que moi même. Milo est un penseur éveillé, un adorateur de la beauté et de l'étrange. Mais la sauvagerie du chat, bien qu’endormie, guète… Ses défauts sont présents, bien que rarement visibles.
☆ Physique :
Jeune homme au profil avantageux, Milo est doté d'un visage singulier et emplit d'une multitude de traits je vous l'accorde. Teint de pêche et petit nez cerise, le beau félin a tout des Dieux. Sa chevelure nuit aux douceurs de givre est aussi fine et douce que du lin. Quelques mèches rebelles encadrent son visage diaphane aux traits de mélancolie constante. Ses iris d'un bleu pâle et profond intimide l'âme et la méprends dans des songe infinis. Ainsi des reflets marins s’y mêlent les jours de pluie. Un regard de rêve, un regard de pleure. Ses lèvres, aussi délicates que fraîche laisse entrevoir une odeur de fruits aux sentiments exotiques des contrées de l'orient. Un visage remplit de mœurs aussi en apothéose que la beauté du nom qualificatif qu'il porte. Milo, en bon poids bon œil pèse dans les environs de 65kg. Est ce gros selon vous ? Jugerez-vous au rapport de nombres ? Sans doute que oui, à dire vrai, il suffit de le voir en vrai pour affirmer des propos en doutes. Mesurant dans les mètres 80, certains le considèrent comme petit. Bien grand mot pour si grand homme ? Que de question dans ce qui devrait être une aimable description. Sa pilosité, oui j'en suis sûr la gente féminine doit avoir de la curiosité à ce rapport, n'est que peu élevée. Je vous rassure demoiselles, ce n'est point là un castrat. L'aura que dégage ce charmant être est celle d'un poète adorateur des écrivains du 18eme siècle, des philosophes du 17eme. Que de chimère dans son regard lorsqu'il lit de si humbles manuscrits. Aux allures dignes des créateurs de mode italiens, Milo est rarement mal vêtu. Optant pour des pantalons amplement serrés et des chemisettes espagnoles, il incarne l'esprit de la romance en vêtements. Un grelot pend le long de son cou. Il aime à s’habiller parfois en fille. On s’y méprendrait et confondrait ce jeune homme avec une donzelle..Vous jugerez de votre propre chef de la classe qu'il peu avoir en votre vue. Je considère sa description physique suffisante à votre entendement.
☆ Vous:
☆ Prénom : James Bond :O
☆ Age : Regarde dans le profil :)
☆ Comment avez vous connut le forum ? Par hasard ? | |
|
Ai Hoshiko ♥ Petite Poupée de Porcelaine ♥
Nombre de messages : 818 Age : 36 † Club : Vice présidente du club de Mode † Age Du Perso' : 19 ans † Profession : Etudiante Date d'inscription : 16/09/2008
Feuille de personnage † Neko's/Maître: Pense pas en avoir, m'en fin > † Chambre/Logement: Chambre n° 1 † Relations:
| Sujet: Re: Milo Valerio Mar 28 Oct - 9:50 | |
| | |
|