Victor H. Ackhart

☆ Personnages:

☆ Avez-vous choisie un personnage prédéfinit: Non.

☆ Nom: Ackhart.
☆ Prénom: Victor Hollow.
☆ Age: 21 ans.
☆ Métier (Profession) : Bibliothécaire si possible.
☆ Nationalité: Anglaise & Allemande.
☆ Orientation Sexuelle: Bisexuel....


☆ Caractère: Avant tout, Victor est une personne sensible et émotive, en qui tout retentit et qui est marquer en profondeur. Ça explique bien ses réticences et sa susceptibilité. Il cherche énormément à éviter les conflits de toute origine ou même les situations de tension, il les évite. Il serait autant possible de voir un pingouin marcher dans votre maison que Hollow ne soit l’amorceur d’une dispute ou une querelle. Toute sa vie, il a cherché à plaire, il préférerait même mieux de perdre la face ou de l’argent que de déplaire aux autres. Quand il se laisse à ses émotions, c’est un jeu d’enfant d’en faire une bouchée. Mais il va souvent prendre des précautions et cloués ses énergies pour se sentir moins vulnérable. Quand il sent le besoin de se protéger de quoi ce soit, il ne s’embarque dans rien. Faisant preuve d’une prudence légitime.

C’est un jeune homme empathique, tout autant qu’il est très affecté par son environnement et ne peut s’empêcher de réagir d’une façon très émotionnelle à ce qui l’entoure. Ses sensations et ses sentiments peuvent montrer une force, mais tout autant un handicape chez lui. Il a réussi avec le temps de les canaliser pour ne que les exprimer aux bons moments. Des fois il peut très bien les masquer, mais seulement s’il a beaucoup dormi. Son sommeil influence tout.

Il est souvent nostalgique, très attaché à son passé, incapable de faire un trait dessus. Il a autant une misère à grandir mentalement. Ce n’est pas pour rien qu’il est incapable de toute méchanceté. Flatté ou calomnié, câliné ou battu, sa réaction est presque toujours la même. Un sourire que souvent on qualifie énigmatique, voir stupide. Il ne ferait même pas mal à une mouche, pour lui, c’est impossible de croire que des personnes sans scrupules existent et pourraient lui nuire en trouvant en lui une victime presque consentante. Au point d’être un peu naïf, il déteste les mensonges, la duplicité et tient à sa réputation d’intégrité et de sincérité comme à la prunelle de ses yeux. Sa tolérance et sa patience est légendaire, mais dû à sa naïveté et sa crédulité excessives, il est souvent proie à des déboires et des déceptions. Mais il n’est tout de même pas stupide. Il possède de bons points en psychologie, d’où son métier et ne se trouve pas mal pour ne pas croire des faits qu’il connaît déjà. Il aurait voulu être un historien, aimant les sujets traitant du passé, mais le destin en a choisi autrement.

☆ Physique: Une chose est sûre en le voyant, on ne peut pas dire qu’il a un corps désagréable à la vue. Assez grand au corps svelte, il est finement sculpté, des muscles bien dessinés décorent son anatomie. Si on commence par le haut jusqu’au bas, on pourrait remarquer sa tête, si si, je vous jure. Sa tignasse longue et brune est attachée en une queue de cheval nonchalante, avec un ruban blanc. Ses beaux cheveux encadrent un visage qui pourrait rappeler un misérable enfant. Il prend souvent un air nostalgique et minaudant. Sinon, il sera calme et sans vraiment d’émotions. Voir simplement pensif ou neutre. Ses yeux sont d’un vert écume des mers, en quelque sorte. Avec un dégradé vers le vert très pâle tirant sur le blanc, très faible. Traversant son visage pointu est une cicatrice mince, mais bien visible. Commençant de son œil gauche jusqu’à son oreille droite.

Pour sa tenue vestimentaire, disons qu’il revête la plupart du temps des costumes bien propres et dans le style riche. Ça ne serait pas rare de le voir en chemise et cravate, avec un petit veston. Mais parfois, il lui arrive de mettre un t-shirt moulant et une veste, avec des jeans serrés et des converses. Seulement hors de ses heures de travail. Malgré que porté une blouse ne l’intéresse pas vraiment, il en porte quand même un pour travailler. Il arbore souvent des airs réconfortants et gentils à l’intention de ses patients.

☆ Histoire: Lors d’une fête, une jeune femme du prénom d’Emma y était. Elle n’avait pas voulu y aller au départ, mais après avoir été suppliée par sa copine, elle avait cédée. Ses vêtements étaient pourtant banals, mais elle semblait avoir piqué l’œil d’un certain autre qui se trouvait à la petite soirée. C’est en tournant sa tête, ses yeux bleus avaient croisés ceux du certain quelqu’un. Essayant de l’ignorer un petit peu, les minutes s’écoulèrent et bientôt deux heures, puis elle remarqua qu’il la fixait encore. Enfin, il avait bougé quand même. Mais ses yeux étaient de nouveau posés sur elle. Lui souriant, gentille comme elle est, habituellement, elle s’assurait qu’il ne regardait pas quelqu’un d’autre. Puis il lui sourit. C’était bon signe. Ayant plutôt chaud, elle s’enfuit dehors pour prendre un peu l’air, prenant une place sur les escaliers devant la porte. Effectivement, la fête avait lieu dans l’appartement de son amie. Quelques secondes après, on la rejoignit. C’était celui qui l’avait fixé. Lui souriant encore une fois, ils finirent par discuter. De tout et de rien. Et ce fut la connexion immédiate. Ils se donnèrent un rendez-vous.

Ce jour-là, elle s’était fait une beauté, pour lui plaire, si ce n’était déjà fait. Elle le trouvait bien beau et charmant. Elle savait qu’il avait un enfant, mais ça ne dérangeait en rien. Elle aimait les enfants. Ils refirent la même chose que la fois précédente. Ils parlèrent d’eux-mêmes et de ce qu’ils aimaient, faisaient pour vivre. Puis ils se donnèrent un autre rendez-vous.

Puis un autre, puis un autre, jusqu’à ce qu’ils s’empilent et tombent complètement amoureux l’un de l’autre. Sortant ensemble, devenus un couple, les deux se marièrent, deuxième mariage d’Oscar, le jeune homme. Son fils avait alors 2 ans. Lors de leur lune de miel, ils ont conçus le deuxième enfant. Qui, neuf mois plus tard, fit apparition hors du ventre de sa mère. Mais elle n’eut que la chance de le voir quelques heures après qu’elle s’est reposée convenablement. Les deux jeunes gens étaient bien heureux. La mère ne voulait pas qu’il n’est qu’un prénom. C’est pour ça que le père lui en donna un qu’ils ajoutèrent au deuxième, celui qu’Emma eut choisi. Alors, avec le nom de famille du père, ce fut Victor Hollow Ackhart son nom. Les deux aimaient bien, alors ils gardèrent ce nom. On voyait déjà que le petit avait quelques traits de son père, mais plusieurs de sa mère. Tout semblait bien. Emma était en santé et le petit aussi. Mais avant qu’elle n’ait quitté l’hôpital pour ramener son poupon à la maison, Isaac, l’enfant d’Oscar, était venu rendre visite aux deux. Il semblait s’être habitué à cette dame qui était sa nouvelle mère. Mais l’être qu’elle tenait aux creux de ses bras éveillait en ses jeunes sens un sentiment étrange.

☆ Vous:

☆ Prénom: (Surnom) Dhe.
☆ Age: 14 u_u;
☆ Comment avez vous connut le forum?: Google :}

{ Suite }

Quelques années défilèrent pour la famille. Victor grandissait bien, mais se retrouvait à être assez androgyne dans son allure. On le prenait pour une fille, parfois. Ça arrivait souvent, au primaire. Mais ça ne semblait pas le déranger. Ce n’était pas une remarque blessante, dans son opinion. C’était un enfant calme et qui ne faisait rien pour s’attirer des ennuis. Rien. Mais parfois, son frère aurait tendance à faire des sottises et ensuite mettre la faute sur son jeune frère. Qui aurait la plupart du temps, les punitions. Bientôt, l’adolescence vint. La situation s’était améliorer, Victor ayant en quelque sorte été cru par les parents quand il dit ce que son grand frère faisait. C’était le mieux aimé des parents. Enfin, Oscar aimait quand même ses deux enfants, mais la mère plus sa progéniture que celle de son amour, parce qu’il faisait du mal au sien. Bref. Elle préférait Victor à Isaac. Ce qui avait jamais eu un vrai effet sur le jeune homme, mais la jalousie se voyait très bien quand les deux étaient seuls.

Bien-sûr, être un adolescent impliquait bien avoir des amis et même, une petite amie. Ou un petit ami. Ce qui serait plus l’option pour Hollow, qui lui, n’était pas vraiment attiré par la gente féminine. Il faisait tout pour plaire aux autres et s’intégrait assez bien. De temps à autre, il ramènerait un ou deux amis à la maison. Pour soit faire des devoirs ou jouer à des jeux vidéo. Il avait une vie parfaitement normale, jusqu’à ce qu’il emmène son petit ami à la maison. Par chance, les parents furent un peu choqués, puis ne trouvèrent pas cela bien grave. De toute façon, c’était vrai que leur petit était assez féminin. Alors le voir avec une fille aurait été tout autant bizarre. Seulement, ça déplaisait à son frère aîné. Qui avait toujours été un peu possessif pour le rendre misérable. Même avec ses amis, il avait toujours été jaloux et les dérangeait souvent. Mais le voir avec un homme comme ça, c’était pire.

Victor s’était douté de la réaction de son demi-frère, alors n’avait pas insisté sur le fait de lui présenter son copain. À la place, les deux ne firent que s’isoler dans sa chambre. Ils sortaient ensemble depuis déjà un an, et maintenant son partenaire avait envie de quelque chose de sérieux. Ce que les deux ne savaient pas, c’était que quelqu’un écoutait à la porte. N’était-il pas un peu jeune pour ce que l’autre voulait ? Isaac se le disait dans sa tête et n’avait aucune envie de laisser son frère aux mains de quelqu’un d’autre. Certes, Victor et son copain, donnons lui un nom… Abigael. Donc Abi, si vous ne l’aviez pas encore devinez, voulait faire l’amour. C’est normal pour lui d’avoir cette envie, vu que les deux étaient âgés de 16 ans. (Isaac de 18 ans donc)

Quand les deux allaient le faire, Isaac entra, comme quoi faut toujours verrouiller les portes quand on veut faire des trucs intimes, c’est inévitable. Son air parfaitement calme ne trahissait pas sa haine, et il les regardait en croisant les bras. « Vous faites tant de bruit que je suis venu m’informer de ce que vous faisiez. Et pardonnez-moi-même si je ne suis pas le moins du monde désolé, vous devez quitter cette maison et ne plus jamais revenir. Personne ne le touche comme ça. » Abi était furieux, s’il voulait qu’il parte, il allait prendre son petit ami avec lui. « D’accord, mais il vient avec moi. » Le concerné ne savait pas où se mettre et détestant les conflits, surtout étant de cœur sensible, il se leva en vitesse et sortit de la chambre. Heureusement, il avait encore ses pantalons. Seulement son torse était nu. C’était tard la nuit, alors personne ne serait à l’extérieur à cette heure-ci. Personne n’avait pensé à le retenir. Les parents étaient sortis jouer au billard, alors il sortit dans la rue, avec un léger manteau et après quelques minutes de marche, il avait entendu quelqu’un derrière. Il avait osé se retourner pour voir qui c’était et c’était nul autre que sa peste de frère. Il sentait les larmes lui monter aux yeux alors qu’il se mit à courir et pour ajouter à la scène un petit quelque chose, de la pluie se mit à tomber sur les deux Ackhart. L’adolescent courait assez vite, alors il se cacha dans un parc, s’assoyant dans une glissoire. Un toit recouvrait ce dernier, alors il se protégeait un peu de la pluie, mais le vent en faisait rentrer un peu quand même. Recroquevillé, proie à lui-même, le brun serrait ses jambes contre lui et avait le visage enfoui dans ses genoux. Il pleurait. Petite nature qu’il était. Il espérait que personne ne le retrouve, jusqu’au matin, ou quand des enfants viendraient jouer.

Malheureusement, quelques heures infimes après, il fut retrouvé par l’autre qui avait retrouvé le ruban qui retenait ses cheveux près du parc. Et voyant la silhouette par l’ouverture du toit de la glissoire, il y était allé. C’était bien lui. « T’est fou ou quoi ?! Rester à la pluie et au vent comme ça ! Tu vas te rendre malade ! » C’était la seule chose qu’il dit. Il voulait le punir pour avoir osé s’être laissé toucher et s’être ainsi laisser rendre faible dehors. C’était bien sa faute, mais il ignorait ce détail. Pas d’humeur pour l’affronté, le cadet glissa pour ensuite se remettre à courir, mais ses jambes l’abandonnèrent à son sort lorsqu’il fut quelques mètres plus loin, il tomba donc dans l’herbe mouillée. La pluie était plus faible maintenant. Le jour allait bientôt se lever. Il était fatigué. Ça ne prit pas de temps pour Isaac d’arriver à sa hauteur. « Laisse-moi tranquille, je t’ai rien fait. » Marmonna le plus jeune, alors qu’il se relevait sur ses pauvres jambes épuisées de courir. Avant de s’écrouler une nouvelle fois, il fut rattrapé. « Lâche-moi j’ai dit ! » Et il se déprit avant de se mettre en route vers la maison.

Les deux étaient en froid et ne se regardaient même plus. Abigael avait été traumatisé et ne voulait plus approcher Victor. Isaac s’était occupé de son cas pour s’assurer qu’il ne lui désobéirait pas. Hollow fut distancé de la plupart de ses anciens amis. Son ex copain ayant mis une fausse rumeur à son sujet. Mais ce qu’il ne savait pas, c’était que l’idée de répandre une rumeur, c’était l’œuvre de son aîné. Pour éviter qu’il ne se trouve un autre copain, il avait dit à Abi de répandre une rumeur qui ne risquerait pas de le laisser entrer dans une nouvelle relation. Mais ça avant rendu le pauvre petit dépressif et nostalgique des jours où il était encore heureux. Les jours où il plaisait encore aux gens et avait beaucoup d’amis. Et qu’on le respecte et que les gens étaient gentils avec lui.

Les parents voulaient en savoir plus sur la situation, mais aucun des deux ne disaient un mot. Puis alors qu’ils en avaient marre de cette ambiance, ils les envoyèrent faire les courses ensemble. Le plus jeune était quelque peu agressif en sa présence maintenant. Lors du chemin, aucun ne dit rien, mais après qu’ils aient tout pris ce qu’il fallait, c’est sur le chemin du retour qu’Isaac brisa le silence. « Tu sais quoi, ça a assez duré. J’en ai assez d’attendre. » Tournant la tête nonchalamment, le petit le regarda d’un œil dubitatif. « Assez d’attendre pour quoi ? » Sa voix était quelque peu chevrotante, mais une pointe énervée. Il en avait assez de vivre avec ce mec qui avait détruit un peu sa vie qu’avec une simple relation. « Pour te dire que je t’aime et je te veux juste pour moi. » Ça fit comme l’effet d’une claque au petit qui serra ses sacs, ne le regardant pas en face. Ses yeux étaient rivés sur le sol. « T’est timbré ou quoi ? On est frères. Ça se fait pas. » « Demi-frères. » « N’empêche ! » Sur ce, il se mit à courir et le laissa seul avec ses propres sacs. À la longue, il l’aurait. En arrivant à la maison, il rangea rapidement les éléments achetés et ensuite quitta pour ne pas croiser Isaac. Il allât se réfugier dans le parc, encore une fois. Enfin, pas le même. Y restant une heure environ, il commença à avoir faim et donc, se décida à retourner. Il aimait bien rester seul comme ça, sans ennuis.

Mais ce n’était pas toujours la meilleure chose, d’être seul. Il passa par une ruelle et évidemment, ça devait se produire, il y avait un groupe de mecs. Au début, Victor voulait rebrousser chemin, mais quand il s’était aperçu que des gens étaient près de la fin du passage, ils s’étaient approchés de lui et en quelques secondes, fut immobilisés contre un mur. Ils voulaient son argent, ou s’il n’en avait pas, juste lui faire mal. Alors que le premier sortait un couteau, ils étaient violents et en manque de sang j’imagine, un homme passait par là et les vit. Bien plus bâti et vieux, il s’en mêla. Le seul résultat, le jeune homme eu une longue trace partant du coin de son œil jusqu’à son oreille, passant par-dessus son nez. Les mecs voulaient qu’il garde mémoire d’eux, peut-être pour ne plus le revoir dans cette allée.

Quand il put enfin partir, il courut, encore, jusque chez lui. Il avait une main sur son visage, mais ça n’aidait pas à grand-chose. En arrivant, il se dirigea immédiatement vers sa salle de bain et commença à le nettoyer du mieux qu’il put, croyant que même si ça faisait terriblement mal, ce n’était pas si profond et ne laisserait pas de cicatrice. Il n’avait aucun choix de mettre un pansement, il aurait voulu le dissimuler à ses parents, mais ça n’arriverait pas. En sortant, il se heurta à sa mère. Celle-ci prenant un air terrifié à la vue du pansement qui avait un peu de sang dessus, maintenant. Lorsqu’elle l’emmena s’asseoir à la table pour manger, il dû s’expliquer. Isaac n’ayant pas un air très joyeux et ses parents non plus. « C’est ça qui arrive quand on fuit. » Sans réplique de sa part.

Quelques mois plus tard, Isaac déménageait dans son propre logis et voulait apporter son souffre-douleur avec lui. De cette façon, il n’aurait pas les parents dans les pattes pour faire comme bon lui semblait. Naïf, mais pas autant avec son grand frère, Victor décida d’établir une sorte de pacte avec lui. Il lui demanda de le laisser encore un an avec les parents, et ensuite, il irait bien vivre avec lui. Il n’avait décidément pas le choix. Et même en le dénonçant, ça n’aiderait rien. On croit plus l’aîné que lui, même s’ils ont une préférence, ne reste moins qu’il ne lui faisait pas tellement confiance. Bref. L’année s’écoula et quand le jour vint de déménager hors, (il est donc âgé de 17 ans) c’est certain que le petit cherchait un moyen de s’échapper de son sort. Mais il n’en trouva pas. Faut dire qu’il était encore misérable à l’école, même si la rumeur s’était assez tut et il recommençait à se faire des amis. Parfois, il les perdait parce que d’une façon, ils apprenaient à propos de la rumeur. Que Victor ne connaissait pas, mais elle faisait fuir tout le monde. Il n’avait pas une maladie, quand même ! Ça le frustrait et il savait que c’était de la faute d’Isaac.

La seule façon de lui échapper fut de quitter sa chambre la nuit, parfois. Il sortait par la fenêtre, vu que sa chambre était au-rez-de-chaussée, donc il n’avait aucune misère à sortir en douce. Parfois, quand c’était la fin de semaine, il ne revenait que le lundi matin, quand il dormait, ou des fois, il n’avait aucun choix que de revenir quand il était bien éveillé et prêt à le tuer. C’était rare, il s’occupait pour qu’il le tue quand il se réveillait et remarquait sa présence.

Par tuer, je veux vraiment dire une certaine violence, ou parfois, il s’en prenait d’une autre façon, plus psychologique, en lui racontant des trucs qui le torturait. Des trucs infimes. Mais c’était si facile de l’abattre, avec son côté naïf, et sensible.
Après deux ans de cohabitation pénible plus pour le plus jeune que pour l’autre, Victor se fit un petit ami. Un nouveau et plus méfiant. Enfin, c’est ce qu’il croyait. Il l’avait bien prévenu de la méchanceté de son frère. Les deux frères allaient à la même FAC. Malgré les efforts qu’il faisait pour que son cadet n’ait de relation intime avec personne, le petit y arriva quand même. Low se mit à rester plus d’heures à l’école et y allait parfois quand ce n’était pas nécessaire. Après un certain temps, ça commença à éveiller les soupçons de son demi qui vint le chercher un jour, après ses heures supplémentaires qui suivaient la fin des cours. Quelle fut sa surprise en le voyant bavarder avec un de ses amis. Mais plus surprenant encore, ils se tenaient la main et sans qu’ils ne l’aient aperçus, il approcha et les deux s’étaient embrassés, devant ses yeux ! Inacceptable.

Mais il ne le montra pas en premier. Il manigança tout dans le dos du petit pour les faire rompre. Et jouait avec son copain pour qu’il le jette. Ça prit un moment avant que l’autre ne cède à toutes les paroles qu’Isaac lui dit et ne se doutant de presque rien, il ne se posa pas de question pourquoi leur couple prit fin. Si abruptement, sans raisons qui lui semblait bonne. Il était trop bouleversé pour dire ou faire quoi que ce soit. Faut pas oublier, il était sentimental, alors sa peine dura longtemps et la seule épaule pour pleurer qu’il avait, c’était celle de son frère. Qui lui, l’accueillit en lui bourrant la tête de conneries. Genre, il est le seul qui peut l’aimer, personne ne pourrait l’avoir, et personne ne le méritait. Que l’autre c’était qu’un idiot. (Alors que c'est lui...)

Maintenant âgé de 23 ans, Isaac entra dans ce pensionnat. Et ne voulant pas laisser son frère aux bons soins de quelqu’un d’autre, il le traîna avec lui à l’endroit et donc, le recommanda pour être engagé également. Victor va probablement faire un syndrome, être autant avec son aîné ça doit pas être bon pour sa petite personne.

Fiche parfaite aussi! *_*
Comme dit à ton frère, je vais juste attendre que vous me mettiez des avatars, puis je vous validerais avec GRAND plaisir! =D

Mmmh viens voir Papa O_o
--->

Bienvenue...

Bienvenuue ! =DD

Oh my god........


Validée!!! Amuse toi bien sur le forum! =)

Mulci >> ... You're mine, okay ? *BAF* xD.

Bref, welcome ! (Waah, une des rares fois où je dirai "bienvenue" xD). J'adore ta fiche *0* (Inceste ! Inceste ! *BAF* ).

Beuh ;_; .

Je déplace la fiche =).

Welcome