.: Myûya - Myû-Myû :.

☆ Personnages:

☆ Nom: Mikazaya.
☆ Prénom: Myûya.
☆ Age: 21 ans.
☆ Profession: Directeur du Pensionnat.
☆ Nationalité: Japonaise.
☆ Orientation Sexuelle: Bisexuel.

☆ Histoire:

A la suite.

☆ Caractère:

& Génie: Myûya est, même si c’est pas la première chose qu’on voit chez lui, un génie. Il n’y a pas d’autre mot. Dans son enfance, il a été forcé à apprendre. Apprendre tout et n’importe quoi! La peur des coups de bâton lui a donc donner au fil des ans, une facilité d’apprentissage qui a permis à son esprit de grandir. Arrivé à l’orphelinat, il passait son temps dans la bibliothèque et là aussi, il c’est instruit encore et encore. Il possède une soif de connaissance si impressionnante qu’on vient à se demander si le savoir, les textes, les réflexions, ne sont pas aussi une façon de fuir. Ensuite, en lisant l’histoire, vous comprendrez que notre jeune homme a réussit à accumuler le savoir de plusieurs centaines de métier. Évidement avant chaque changement de vie, il devait passer des jours et des jours à étudier chaque détail de la nouvelle vie qu’il choisissait. Petit à petit, il a accumulé un savoir tel que si on lui faisait passer un test de Q.I, beaucoup de monde serrait choqué du résultat!
& Las: Myûya au fil des ans, est devenu assez las de son existence. C’est un être torturé qui a perdu bon nombre des personnes auxquels il tenait. Finalement, il commence à se demander si c’est pas lui qui porterait la poisse. Sans compter qu’étant très intelligent, il voit la vie d’une manière plutôt différente. Les gens ne comprennent pas sa façon de vivre ou de voir les choses.
& Gamin: C’est certainement la première chose qu’on remarque chez lui! Il n’a pas l’étoffe d’un directeur et joue sans arrêt les bébés. Il lui arrivera alors souvent de faire des bêtises, de vous sautez dessus en vous disant que c’est vous le chat, ou autres… Il aime jouer, certainement pour rendre la vie plus agréable.
& Comédien: Myûya n’a pas de réel caractère en réalité. Certes, je vous énumère des points cruciaux, pourtant ceux-ci peuvent très subitement passer du chaud au froid. Il a l’habitude de jouer des rôles si bien que finalement, on se demande qui il est vraiment. Durant son existence, il a eut tant de caractère, de masque, qu’à présent, il en change très rapidement. Cela pouvant parfois être effrayant d’ailleurs.
& Manipulateur: Bon, cela coule de source. Autant il est un génie, autant il est un génie en manipulation avant tout! Jouez la comédie pour faire croire à une personne qu’on est tel ou tel personnage, si ça c’est pas manipuler? Évidement, il utilise se talent pour bien des choses et il arrive toujours à ses fins.
& Sadique: Il a vécut des choses affreuses dans son existence si bien que maintenant, il a un peu de mal avec la notion de bien et de mal. Il lui arrive donc de faire des choses diaboliques ou pire juste par jeu. Car comme en faisant l’enfant, être cruel permet de voir la vie autrement. De s’amuser, de rendre les choses plus « marrantes » et la vie moins « ennuyante ». Vous êtes prévenus. Notre jeune ami n’ai pas du genre à hésiter et à prendre des risques car jusque là, qu’importe les horreurs qu’il a faites, il s’en es toujours sortie!
& Triste: Avec tout se qu’il a vécut et tout l’incompréhension dont il est entouré, il est normal que Myû soit un être emplie d’une grande tristesse. Il est seul depuis la mort de sa mère et de sa sœur. Une solitude qui le ronge et qui le détruit petit à petit. Il cauchemarde souvent et se retrouve souvent seul dans un parc, le regard vide. Il aurait aimé que la vie soit différente et ne comprend pas pourquoi le destin à fait de lui cet être étrange.
& Fou: Quand tristesse, sadisme, jeu et génie se mêlent, on obtient presque toujours un être légèrement ou complètement barge. C’est bien le cas ici, Myû pique parfois des crises de folie ou il peut aller jusqu’à fracasser tout se qui l’entoure, et même s’en prendre aux personnes se trouvant là. Encore une fois, vous êtres prévenus.
Le reste, vous le découvrirez en apprenant à le connaître! ;) (Ouai, j’ai la flemme de faire le reste xD)

☆ Physique:

Myûya est un magnifique jeune homme si bien qu’aucun mot ne pourras jamais retranscrire réellement la beauté étrange et fascinante de ce personnage. Il possède d’ailleurs une particularité frappante et déroutante. Son physique semble changer en fonction de son caractère. Et oui, monsieur est un très bon comédien et celui-ci a donc apprit à accorder son visage avec son humeur afin que cela ne soit pas choquant. Pourquoi cela pourrait-il être choquant, me direz vous? Et bien, c’est simple, je vais tout vous expliquer.
Myûya, lorsqu’il reprend son caractère d’enfant, joueur et gamin, à une bouille enfantine. Ces yeux semblent plus grands, plus pétillants de malice! Il semble avoir un visage plus arrondis. Pourtant, il ne change pas réellement. Non, le directeur possède toujours des yeux d’un bleu foncé comme une nuit d’été, parsemée de tant d ‘étoiles. Des cheveux d’un noir ébène, si profond et si doux. Seule l’impression, ou l’aura qui se dégage de lui est différente, si bien que notre perception de son visage se modifie légèrement. Il faut dire qu’il prend un sourire de petit garçon et des mimiques tel qu’on ne peut que croire qu’il n'est qu'un enfant innocent. Car oui, c’est de l’innocence et de la pureté qui se dégage alors de ce personnage. Il semble doux, tendre, joyeux et naïf. Un vrai petit Ange.
Pourtant... Le second physique du jeune homme est beaucoup plus démoniaque. Oui, c’est bien le mot “Démoniaque.” Lorsqu’il reprend son sérieux, son regard devînt alors effrayant à vous glacer le sang. Pire que ça! Il suffit parfois d’un regard pour que vous partiez au courant ou que vous restiez tétanisé de peur devant ces prunelles qui vous fixent. Il ne cille plus, semblant vous poignardez d’un regard aiguisé comme la lame d’un sabre. Ces yeux deviennent sombres, profonds, sages et réfléchies. Et à la fois, sadiques et monstrueux. Un vrai démon. Ses traits deviennent alors plus “homme”, son visage semble s’allonger légèrement. Ces lèvres sont toujours aussi sucrés. Ces cheveux encadrent son visage de façon plus noble alors qu’avec sa bouille enfantine, ils ont plus quelque chose de sauvage.
Est-ce tout? Est-ce que ce splendide jeune homme ne se résume qu’à ces deux physiques? (Deux c’est déjà pas mal mais bon... xD) Non... Non, car Myûya n’est ni un totalement Ange, ni totalement un démon. Il est les deux à la fois! Oui, ainsi, lorsqu’il reprend un visage plus neutre, on voit ces deux cotés totalement opposés s’accorder parfaitement. Il en devient alors un être réellement fascinant. Fascinant par cette beauté très particulière. Ces yeux deviennent ceux d’un Sage. Profonds et magnifiques... Pourtant, ils scintillent toujours de cette malice d’enfant qui sommeil en lui. Il semble toujours pouvoir vous poignardez mais cette fois-ci, la force qui sommeillait dans son regard perd de son agressivité. Il a un regard puissant, sans pour autant être mauvais. Ces traits deviennent doux, d’un tracé presque nobles et gracieux. Ces lèvres restent celle d’un enfant. Sucrées, légèrement rosées.
Son corps d’ailleurs, est celui d’un homme, évidement. Même si il ressemble plus à une femme par son androgynéité. Sa ligne est fine et élancée. Gracieuse et magnifique. Sa peau est d’une douceur indescriptible et son odeur est enivrante. Vous pourrez aussi voir que le jeune homme adore les piercings, ainsi, ses deux oreilles sont totalement percé et il a dans le coin de sa lèvre inférieur, un petit anneau.
En résumé, ce jeune homme est Mi-Ange, Mi démon. Il possède une aura témoignant de sa puissance et de son charisme. Un côté noble et puissant. Il fait penser parfois à une panthère par sa présence, son regard et cette façon étrange de nous fasciner toujours plus.

☆ Vous:

☆ Prénom: Cendre.
☆ Age: 19 ans.
☆ Comment avez vous connut le forum? Beaucoup savent que j’ai du mal à jouer Kaori ses temps-ci, donc je me créé un double compte. Cependant, vu que je ne supporte pas faire de double compte, un des deux personnages finiras par être supprimer au bout de quelques temps. Maintenant, c’est à voir lequel je garde.

Comme tout commencement, notre histoire prend racine dans les premiers cris d’un nouveau née. C’est vrai, c’est presque cela. Il y eut bien un crie strident. Un nouveau né. Celui-ci avait peur, avait froid comme tout les enfants qui viennent au monde. Il hurla un bon moment avant qu’on ne le place enfin dans une couverture chaude et qu’on le dépose dans un couffin. Lorsque soudain, soudain, un nouveau crie se fit entendre. Et oui, un autre enfant vînt au monde. Et celui-ci, contrairement à l’autre, était une petite fille. On la plaça à son tour dans le couffin bien couverte. Les deux enfants qui hurlaient alors à tout rompre, cessèrent soudainement leurs cries comme-ci la présence de l’autre les réconfortait. Oui, s’était certainement cela car après les choses ne changèrent pas beaucoup. Leur jeune mère leurs avaient donnés la vie dans une montagne reculée. Elle y vivait jusqu’alors avec son mari dans une petite maison au milieu d‘un grande forêt. Pour le moment, tout vous semble normal, non? Certainement. Pourtant, les choses étaient tout sauf “normal” dans cette famille qui venait à peine de s'agrandir. Le père, lorsqu’il avait apprit que son épouse attendait un “heureux” événement, la battit comme jamais. Cruel et possessif, il ne supportait pas de voir la jeune femme joyeuse. Non, il voulait qu’elle soit son objet, sa chose, un point c’est tout. Aucun espoir ne lui était permis. Ainsi, après avoir supportée huit mois la violence de son mari, la jeune mère réussit tout de même à mettre au monde ses enfants. (Prématurés, évidement.) Elle n’eut le droit à aucun médecin et l’homme refusa de l’emmener à l’hôpital. Heureusement pour elle, une voisine vînt l’aider et sous le regard mauvais du mari, les enfants avaient put tout de même pousser leurs premiers cris. Je ne vous indiquerais par leurs noms. Non, cela n’avait et n’a encore aucune importance. Pour leur mère, ils étaient « mes petits trésors. », pour leur père, « les salles vermines. », pour les autres, « les jumeaux » tout simplement. Ils étaient une seule personne alors à quoi bon différencier leurs noms?....

Enfin, les années passèrent dans la petit maison. La forêt avoisinante semblant étouffer les cris de douleurs, de peurs de la mère et des enfants... Dissimulant par la même occasion les cris de rages du père. Ils grandirent donc dans un environnement terrifiant ou ils craignaient sans arrêt les coups de leur père. Chaque remarque de celui-ci les enfonçant un peu plus. Leur paternel prenait un malin plaisir à les rabaisser, à tout faire pour qu’ils tremblent devant lui. Il leurs donnèrent une éducation stricte. Les jeunes bambins devaient apprendre tout par coeur, que se soit les leçons ou les bonnes manières. Chaque erreurs leurs coûtant plusieurs coups de bâtons. Mais ils ne disaient rien... Pensant certainement à leurs âges que tout cela était parfaitement normal. “Baissez les yeux devant moi!” “ Allez chercher du bois pour la cheminé, salles gosses!”
Tout ça ne les touchait pas. Pourquoi? Parce qu’ils étaient ensembles. Comme au premier jour. Même si ils avaient froid, peur. Ils étaient ensembles. Ils n’avaient besoins de rien d’autre. Si ils se sentaient mal, l’autre était là pour réconforter, pour aimer et protéger. Et leur mère aussi, elle était là. Elle faisait de son mieux et les aimait tendrement. Elle était toujours souriante, qu’importe la situation ou la taille des bleues qui recouvraient son corps. Il fallait être fort. Ils étaient deux avec le soutient de leur génitrice, alors le reste leur importait que peu.

Mais tout à une fin...

C’était une nuit sombre. leur mère servait le repas et comme d’habitude, personne ne parlait. L’ambiance était glacial, l’orage et la pluie battaient les arbres à l’extérieur. L’homme se plain du repas trop maigre. C’est là que la jeune femme eut le malheur de répondre. Une simple phrase: “Je n’ai pas pu faire les courses, on a presque plus d’argent.” Et le massacre commença. Le mari étant le seul à travailler, prit cela pour un reproche personnel et la jeune femme s'écroula sous les coups. Les deux enfants tentèrent de calmer leur père mais ils furent rapidement éjectés dans un coin. Ayant peur pour ses enfant, la mère tenta d’arrêter son époux. Malheureusement, celui-ci, enragé, passa sa colère sur elle et celle-ci s’effondra contre un meuble. Les petits se précipitèrent vers le corps ensanglanté. La suppliant de se relever.. Pleurant... Hurlant... Lui demandant désespérément de les regarder.... Mais le regard vide de la femme, le sang qui envahissait le sol... Le père comprit que sa chose n’était plu.
Il empoigna alors les gamins mais ceux-ci se débattirent en hurlant de toutes leurs forces, il les frappa violemment en essayant de les calmer puis il les jeta dans la cave. Les enfants roulèrent sur les escaliers et finirent sur le sol boueux. Après cela, son père attrapa le corps de la jeune femme et la jeta à son tour dans la pièce lugubre et sombre. L’homme avait le front en sueur et semblait à présent paniquer. Les gens allaient découvrir ce qui se passait dans cette maison. Ils allaient comprendre et il allait payer. Il ne pouvait pas l’accepter! Ainsi, il enferma sa descendance et le cadavre dans la cave.

Myûya ignore encore aujourd’hui combien de temps il fut enfermé dans cet endroit. Mais dans ses cauchemars, il se souvient très bien de la boue qui recouvrait son corps et rendait sa peau flétrie. Il se souvient de l’orage et de la pluie battante. De cette tempête qui faisait rage. De sa terreur.. De la douleur qui tiraillait ses membres... Il avait soif, faim... Sa tête lui tournait... Mais le pire... Oui, le pire... Etait cette odeur de pourriture... Venant du corps inerte et glacial de sa mère. Jamais, non jamais, il n’oubliera cette odeur et la vision du corps mutilée et pourrissant de cette femme. Jamais il n’oubliera sa seconde moitié s’endormir doucement dans ses bras et ne plus jamais se réveiller à cause des blessures infligées par son père... C’est à partir de se moment qu’il se retrouva « seul », terriblement seul... Sans personne pour le consoler... Pour le serrer fort... Pour l’aimer ou lui sourire.... Seul.... Tellement seul....

Des policiers vinrent le sortir de là, alertés par une amie de la jeune femme qui s'inquiétait de ne plus avoir de nouvelle. L’enfant fut emmené à l'hôpital et soigné. Malheureusement, tous ce doutait que maintenant il ne pourrait plus jamais vivre normalement.

Myûya passa trois mois à l’hôpital. Son corps était parfaitement remit cependant, les médecins étaient inquiets. Le jeune enfant ne prononçait presque plus un mot, ne réagissait plus. Seul son regard glissait parfois sur les personnes qui venaient voir si il était encore en vie. Il était glacial, aussi glacial que la mort. Il faut dire qu’après ce qu’il avait vécut, il était normal qu’il n’ai plus réellement envie de vivre. L’endroit n’aidant pas vraiment. Les murs blancs, la solitude... Le corps médicale comprit rapidement qu’ici le gamin ne se remettra pas. Ils décidèrent alors de l’envoyer dans un orphelinat dans l’espoir qu’il soit adopté. Un psychologue pensait à l’époque qu’une nouvelle famille pourrait lui rendre le sourire. Mais les choses ne se passèrent pas comme il l’avait imaginé, au contraire.

A l’orphelinat, il était très solitaire et sombre, beaucoup le fuyait. Le gamin passait ses journées dans la bibliothèque. Il faisait peur par son regard noir. Lorsqu’on lui parlait, il ne répondait pas. En réalité, a l’époque ou il vivait à l’orphelinat, il ne parla qu’une fois. Un jeune couple chercha à l’adopter. La jeune femme ne recula pas devant son caractère distant, non, on lui avait expliqué pourquoi il était ainsi et elle voulait l’aider, cependant lorsqu’elle dit à l’orphelin qu’elle serrait sa nouvelle mère, la réponse la refroidit. “ Ma mère est morte, si vous voulez l’être, vous devrez mourir aussi. » Le choc... La garçonnet resta à l’orphelinat et il ne revit plus jamais les jeunes mariés. Sa vie devînt encore plus solitaire. Tous, tous sans exception l’évitait à présent. Les enfants mais aussi les adultes. Il n’était plus qu’un fantôme qui errait dans les murs de cet endroit.
Cependant, quelque semaine plus tard, l’orphelinat prit feu. Un incendie énorme qui ne laissa que peu de survivant. Aujourd’hui encore on ignore se qui se passa vraiment. Certains croient que Myûya est mort dans les flammes. D’autres pensent qu’il a mit lui même le feu pour se suicider ou s’enfuir sans laisser de trace. Et une dernière théorie dit que se serrait son père qui aurait mit le feu pour tuer son dernier enfant. Après, là encore, on hésite, aurait-il survécut ou est-il mort? Ce qui est sûr c’est qu’on classa l’incendie d’accidentel par manque de preuve et que plus personne du village ne revit Myûya.

Etait-il mort? Peut être... Ou bien je vous raconte une histoire comme ça pour vous mettre dans l’erreur... Hum. On va dire qu’il a survécut, hein? xD Bien, je passerais un grand nombre d’année sous silence. De ses huit ans, âge ou il a disparut de l’orphelinat jusqu’à ses 14 ans, environ. Comment ça, c’est un sacré bon? Bah, tant pit! Bande de curieux va! Bon, j’arrête, je suis entrain de m’égarer. x_x Donc, il réapparut une nouvelle fois durant son adolescence dans une petite ville sans qu’on sache vraiment pourquoi et encore moins d’où il venait. Il aida un homme qui allait se faire prendre par la police, pourquoi? On ne sait pas. Celui-ci, étant membre d’un gang, lui proposa de le rejoindre. Contre toute attente, Myûya accepta et il rencontra le chef. Le boss accepta de le prendre dans son groupe après un bref entretien « d’homme à homme ». Notre jeune ami faisant démonstration de ses grandes capacités, de son génie, évidement. Et étrangement, lorsqu’on lui demanda son nom, il répondit « Phénix ». Certes, se n’était pas un prénom et malgré les remarques, il rigola en disant qu’il aurait l’air plus effrayant et classe ainsi! Ne cherchons pas à comprendre, d’ailleurs c’est ce que fit la majorité des gens du gang, certains d‘entre eux ayant eux aussi un surnom genre « démon rouge », « batte de fer »... Alors les gens s’en fichaient un peu. Oui, la majorité, mais pas tous. Non, un jeune homme d’environ son âge, Kinari, s’entêta à trouver son vrai prénom et finalement, petit à petit, les deux personnes s’entendirent de mieux en mieux. Le début d’une nouvelle amitié? Oui, sans nul doute. Un mois passa alors.
Myûya épatait par les stratégies qu’il mettait sur pied, son génie et importance au sein du clan fut reconnut de tous. On le respectait, le chef lui faisait confiance! Puis, un jour... L’androgyne alla trouver le chef et lui dit simplement qu’il voulait prendre sa place. (Pourquoi? Bonne question, merci de l’avoir posée. Au revoir. *PAF* *No réponse, encore, je sais xD*) Évidement, on fut surprit de cela, à commencer par Kinari et le chef! On lui demanda des explications, mais il ne répondit que par un vague sourire. Ainsi, un combat entre les deux hommes fut organisés. Le gagnant deviendrait le nouveau chef du gang, l’autre devrait disparaître totalement de la ville. Les deux personnes étaient d’accord et l’affrontement se fit. Certes, Myûya n’avait pas l’avantage physiquement mais intellectuellement.... S’était évident! Sans compter que notre jeune ami avait eut le temps de penser à cela et il gagna. L’autre partie et le Phénix prit la tête du groupe. Certains ne furent pas d’accord et quittèrent le gang, d’autres finirent par accepter, simplement. Son jeune ami devînt même son bras droit et c’est ainsi que le gang entra dans une air d’extension. Ayant plus de liberté, Myûya organisait beaucoup plus d’action. Il réfléchissait et planifiait absolument tout, jamais une opération n’échouait. Le gang volait des banques et autres, ils abattaient d’autres gangs et leurs territoires prient tellement d’ampleur qu’on crut à une nouvelle mafia. On les craignaient, les respectaient... On voulait entrer dans les rangs, prêter serment d’obéissance à cet étrange chef. Myûya prenait avec lui et aidait les enfants des rues. Il semblait à la fois, bon et mauvais. Joueur et diabolique. Personne n’arrivait à comprendre qui il était vraiment, mais cela n’avait aucune importance. L’argent, la gloire... Les membres du gang n’en voulaient pas plus....

Personne ne cherchait à le comprendre? Evidement qu’il y avait une personne qui voulait le faire. Kinari. Lui, il cherchait toujours son nom, il cherchait toujours qui il était... Pourquoi il avait décidé du jour au lendemain de devenir chef... Pourquoi il avait accepté si facilement d’entrer dans le gang... Pourquoi il était apparut ainsi... Le soir, les deux jeunes gens observaient le soleil se coucher du haut d’un immeuble désaffecté. Et un jour, il avoua à Myûya quelque chose qui marqua profondément l’androgyne.

« Je déteste voir le soleil se coucher.... » faisait-il songeur.

« Ca m’étonne de toi... » rajouta Myûya, une sucette à la bouche.

« C’est parce que je sais parfaitement que demain... Demain tu pourrais disparaître subitement comme tu es apparut.... J’ai peur que se soit le dernier couché de soleil qu’on voit ensemble... C’est idiot, mais j’ai peur... » Il tourna son regard vers notre jeune ami. « Je sais pas si c’est vrai, mais je crois comprendre pourquoi tu as prit se surnom. Ou du moins, j’ai ma propre interprétation. Phénix. Un oiseau de Feu. Un oiseau qui vole de branche en branche sans que jamais rien ne puisse le stopper, sans qu‘on puisse comprendre ou il va exactement. Tu suis t’as vois... Et quand tu te sens faible, ou prisonnier... Tu deviens cendre... Tu disparais pour renaître ailleurs.... Différent mais toujours aussi flamboyant... »

« .....C’est une déclaration d‘amour? =D »

« Crétin.... -_-’ »

L’androgyne sauta sur son ami en criant qu’il l’aimait aussi alors que celui-ci se débattait. C’est vrai, s’était un peu idiot comme réaction. Pourtant, comme je vous l’ai dit, cette phrase resta à jamais encrée dans l’esprit de Myûya. Et alors que son bras droit s’en allait en boudant, le chef l’observait. Il fixait son ami... Le fixait un sourire tendre aux lèvres, un sourire si sincère... Pour une fois, il souriait avec le coeur. Et la vie continua.

Mais un mois, un petit mois après.... Ce fut la fin. Le Gang affrontait un groupe qui était venu le défier. Pas n’importe quel groupe! Plusieurs gangs s’étaient alliés pour éliminer définitivement le Phénix et sa troupe. Le combat fit rage dans une rue abandonnée. Les hommes tombaient les uns après les autres! Le sol sombre se recouvrait petit à petit de sang! Le spectacle fut effroyable! Ils étaient plus nombreux, plus forts, plus armés! Et Myûya finit par demander à ses hommes un replis. Ils durent fuir, promettant qu‘ils se vengeraient!... Ils rejoignirent leurs repères pour se soigner lorsque soudain l’androgyne remarqua qu’il manquait une personne importante à ses yeux! Son bras droit, son ami! Il n’était pas là! Il attrapa un type au col et l’interrogea! Et là, son sang se glaça... Il était tombé pendant le combat... Il était... Myûya n’entendit pas les derniers mots qui fut prononcés, il partie en courant dans la ruelle qui avait du être abandonné de vitesse. Les adversaires étaient parties en laissant les cadavres sur place! Les blessés de son clan! Ayant été suivit, le Phénix demanda à se qu’on ramène les survivants du gang aux repère avant que la police ne débarque! Ils s'exécutèrent alors que Myûya cherchaient désespérément son ami. Il le vit alors, sur le sol, presque mort! Il se jeta prêt de lui et le secoua pour le réveiller. Il était dans un salle état... Son corps était recouvert de sang. Sur ses lèvres l’hémoglobines glissait affreusement. Le jeune homme commença à paniquer et lorsque son bras droit ouvrit les yeux...

« Tient bon!! On va te sortir de là!! VEN... » Il fut coupé par de l’homme qu’il tenait dans ses bras, sa main se serrant sur le haut de son chef.

« Laisse tomber.... Phénix.... C’est finit.... » fit-il en quelques soupires.

« DIT PAS DE CONERIE! » hurlait Myûya.

« Arrête... Arrête de jouer les idiots... Tu le sais aussi bien que moi.... »

« .... » Il serra les dents.

« Je crois que... s’était bien... Une déclaration d’amour, tu sais.... »

« ....Crétin.... »

« ....Jamais je ne t’oublierais.... Oiseau de Feu... Mais j‘espère qu‘un jour.... Un jour, quelqu‘un... réussisse..... à te couper les ailes....Pour ton bien.....» Il sourit doucement à son ami, puis soudain..... « .......Je crois...Que le... Le Soleil... Se.. Couche....Non?....»

Il fermait doucement les yeux, fatigué.... Myûya sourit douloureusement et alla glisser quelques mots à l’oreille de son ami: « Je m‘appelle.... » Lorsque le Phénix reposa les yeux sur son ami, celui-ci avait fermé les yeux pour toujours. Il ignore si il eut le temps d’entendre ses mots, mais en observant le sourire qui s’était posé sur se corps sans vie, il l'espérait.... Il espérait qu’il ai eut le temps d’entendre sa dernière confession.
Et après? Myûya prit le corps et alla l’enterrer à un endroit inconnu. Personne dans le gang ne sut ou il partie. Et leur chef ne revînt que deux semaines plus tard pour écraser ceux qui lui avaient prit son seul ami. Et après... il souriait comme ci ne rien était. Mais les gens avaient comprit à présent que son sourire était un masque.
Puis une nuit, n’arrivant pas à dormir, Myûya fixait le plafond du repère. Il leva subitement sa main devant lui, l’observa un instant avant d'émettre une phrase bien étrange: « Et si.. Je devenais le maître du Monde? »
Il était là lorsque le soleil s’était couché, mais au lever, il était partie... Sans rien dire à personne, il avait disparut....

Un marchand de bonbon aux mèches blondes, rieur, joyeux, gamin.
Le soleil se couche.
Un brillant médecin aux yeux verts, froid, distant, mélancolique.
Le soleil se couche.
Un guitariste punk aux yeux rouges, charmeur, fou et dévoué à ses fans.
Le soleil se couche.
Une serveuse de bar, cheveux bruns clairs, yeux de biche vert, idiote mais si mignonne.
Le soleil se couche.
Un scientifique de génie, yeux bruns, cheveux bruns, sadique, manipulateur et faisant des expériences étranges.
Le soleil se couche.
Un cuisinier végétarien, yeux noirs, cheveux blonds, qui finit par faire brûler sa cuisine dans un excès de folie meurtrière refusant de servir du canard. (xD)
Le soleil se couche.
Un professeur de maternel, cheveux blancs, le visage à l‘air âgé, yeux bleus ciel, tendre, doux et attentionné.
Le soleil se couche.
Un peintre solitaire, cheveux bleus aux mèches noirs, yeux bleus marins, muet et perfectionniste. Aurait fait explosé son atelier pour monter que lui aussi, comme ses œuvres, était éphémère.
Le soleil se couche.
Un SDF alcoolique, dealer de drogue, dread locks noirs, yeux verts émeraudes. Complètement fou, commère, ayant des tics étranges. Ce serrait fait arrêter et serrait mort dans un incendie dans sa prison.
Le soleil se couche.
Gardien de Prison (Dans la même prison? Vous avez tout comprit….), cheveux grisonnants, yeux bruns, naïf et voulant croire en l’être humain.
Le soleil se couche.

...

Combien de fois le soleil se coucha? Ça, c’est un mystère…

S’était un matin, au lever du soleil, des bruits de pat dans une gigantesque demeure. Tout était resplendissant de richesse dans cette maison et le jeune homme qui avançait au côté du major d’homme, laissait glisser ses yeux sur les objets scintillants qui défilaient devant lui. Notre jeune héros, calme, était habillé d’une tenue blanche facilement reconnaissable, celle des infirmiers. Et oui, une fois encore, le soleil s’était couché et relevé. Et il était là. Son nom Myûya Mikazaya ( Et oui, j’ai oublié de le préciser mais enfaîte, Myûya n’est pas vraiment son prénom. Il en change tout le temps depuis qu’il a quitté l’Orphelinat. Mais c’est à partir de cette « vie » , et seulement à partir de maintenant, qu’il se présente comme étant Myûya. X) ), ses cheveux étaient mi long de la couleur du néant, ébouriffés et mal coiffés, ses yeux aussi beau qu’une nuit d’été parsemée d’étoiles. Et quand il entra dans cette chambre, un sourire tendre s’afficha sur son visage d’androgyne. Le vielle homme, couché dans son lit, l’air fatigué, le fixa pendant un long moment. Et, avant même de le saluer, il annonça, son regard fixe dans les yeux de Myûya.

« Vous ne ressemblez pas à un infirmier. »

L’infirmier cessa de sourire doucement, son regard pétillant de malice. Et c’est ainsi que ça commença.

Le vieux était un riche homme qui atteignait à présent les 80 ans, malade et épuisé de sa vie. Il avait la peau pâle et le cœur serré d’une existence certainement trop remplie. Il savait qu’il ne lui restait plus longtemps à vivre et c’est certainement pour cela qu’il était aussi froid et mélancolique. C’est aussi pour cette raison que Myû était là. Il était son infirmier personnel, celui qui l’accompagnerait jusqu’à la fin. Todoshi, car s’était le nom de l’ancien, voulait mourir chez lui, en paix dans la demeure ou il avait vécut pendant toute sa carrière. S’était son choix et il avait assez d’argent pour qu’on respecte son souhait. Et les jours passaient. L’androgyne logeait sur place, pour toujours être prêt de celui qui finit par considérer comme un grand homme. Car les deux personnes devinrent surtout de bon ami. Une amitié étrange, froide et dure, presque muette. Myûya s’occupait de sa santé, le promenait sur son fauteuil roulant dans les grands jardins qui entouraient la demeure, parlait beaucoup. Mais surtout, quelque chose qu’il faisait presque tout les jours, machinalement, c’était jouer aux échecs. Dans la chambre, sur une petite table de marbre conçut uniquement pour se jeu. C’est là, que la vision qu’avait Myûya sur les choses qu’il faisait et qui l’entourait changèrent doucement.

« Mouhahaha! Et mon Cavaler va manger votre Tour! Miammm! ~ »

« Arrête de faire l’idiot, gamin. »

« T.T Mais euh. »

Le silence s’installa une nouvelle fois. Puis, contre toute attente et sans que Myûya ne puisse le sentir venir, une question fut posée. Naturellement, sûrement trop naturellement.

« Qui es-tu? » fit Todoshi en bougeant une pièce.

« …. Myûya Mikazaya. Vous avez des pertes de mémoire maintenant?…. Je sens que je vais gagner la partie moi! »

« Arrête de foutre de moi! C’est pas au vieux singe qu’on apprend à faire la grimace! Tu n’ai pas infirmier! Je l’ai su dès que je t’ai vu, et plus les jours passent et plus j’en suis convaincu. »

L’ambiance devînt glacial. Le regard du jeune homme se fixa sur son voisin, le vielle homme faisant de même.

« Et qu’est-ce qui vous fait dire ça?… »

« La façon dont tu me regarde maintenant. Et j’ai fais des recherches. ‘Myûya Mikazaya’ n’existe pas. C’est juste une fausse identité, et je suis sûr que tu n’es pas à ta première, n’est-ce pas, gamin? »

« …. »

« J’en étais sûr. Tu n’ai qu’un lâche. »

« Comment osez vous?!!»

« Tu préfère te taire plutôt que d’avouer!! Et un homme qui fuit à chaque fois qu’il se sent mal! C’est qu’un lâche!! Combien de vie as-tu vécut?! Combien de personne as-tu manipulée pour arriver à tes fins?! Je paris que tu t’en souvient même pas!! De quoi as-tu peur?!! De vivre?! D’être toi-même?! Je suis sûr qu’à force de jouer des rôles, tu ne sais même plus qui tu es! Peut être est-ce que tu ne l’as jamais su, non? Je me trompe?! »

« FERMEZ LA!! SA VOUS REGARDE PAS!! »

« Non, ça ne me regarde pas. Mais tu es là, à jouer aux échecs avec un vieux qui ne finira même pas l’année. Combien de temps vas-tu encore jouer à se jeu? Combien de temps encore vas-tu recommencer la partie à chaque fois que tu perd? Combien de temps encore vas-tu t’obstiner à jouer la comédie, à être un autre? Tu vas finir seul, en égoïste. Tu auras peut être vécut des millions de choses, mais tu serras seul! Et au fond, tu n’auras jamais vécut une vrai vie! C’est ça que tu veux?…. »

« ….. » Le jeune homme tourna la regard, agacé et à la fois, penseur. Puis soudain un bruit de pièce qui se pose sur le plateau d’échec. Il reposa son attention sur le jeu.

« Échec et Mat. Maintenant c’est à toi de voir. Vas-tu encore une fois recommencer la partie? … »

Myûya médita longuement cette conversation. Et contrairement à d’habitude, il ne disparut pas. Non, il était trop têtu pour s’avouer vaincu et malgré le faite que Todoshi connaissait son secret, il continuait d’être son infirmier. Ils ne parlèrent plus jamais de cela et le vieil fit comme ci il ne savait rien. Oui, il joua la comédie jusqu’à la fin. Myûya le regarda mourir et, pour la première fois de sa vie, il ne sut plus quoi faire. Généralement, il partait, disparaissait et recommençait une nouvelle vie. Mais là… Les paroles de l’ancien qui résonnait en lui, l’empêchait de faire quoique se soit.

Myûya resta quelques temps dans la maison de son maître jusqu’à la lecture du testament. Car oui, étrangement, il fut convoqué chez le notaire et, à sa grande surprise, il hérita de toute la fortune de l’homme et plus encore! Il fut le seul héritier car Todoshi n’avait jamais eut d’enfant. Ainsi, le garçon reçut de l’argent, la maison et tout les biens, plusieurs entreprise qu’avait monté ou racheté le vieil homme et… Une pensionnat? Oui, car notre vieil ami était le fondateur de l’école sur l’île…
Une école. Étrangement, et sans vraiment de raison apparente, Myûya vira le directeur incompétent qui était à la tête et prit sa place. Une école, c’est fait pour apprendre? Peut être que Myû considère qu’il a aussi des choses à apprendre…

La suite, nous l’écrirons ensemble.