Shizu' Hitori

Shizuku, malgré ses origines, n’as absolument aucun ressentiment ni préjugé envers les êtres humains. Sûrement est-ce dû à son caractère doux et naïf mais elle a décidé de ne pas juger toute l’espèce sur une poignée d’individu. Et même si ils ont réduit les membres de la sienne à l’esclavage elle pense qu’il doit bien avoir une bonne raison à tout cela. Même si elle se montre toujours rayonnante et positive elle n’en n’est pas moins touchée par les événements. Elle intériorise donc tout sans jamais en parler à personne. Ce n’est pas pour autant qu’elle n’est pas réellement joyeuse, ce coté positiviste lui vient naturellement. Même si ça en énerve certains, ça plait à la plupart… De part sa nature généreuse elle est très obéissante et toujours prête à rendre service à qui que ce soit. Un peu lunatique elle est souvent dans la lune ou plongée dans ses pensées. Comme elle ne change jamais d’expression elle est souvent très dure à déchiffrer, on ne peut jamais vraiment savoir ce qu’elle pense. Malgré son coté rêveuse elle est très minutieuse dans tout ce qu’elle entreprend et aime que tout sois parfaitement fait. Paradoxalement elle est plutôt maladroite aussi bien dans ses propos que dans ses gestes. Elle arrive donc rarement aux résultats escomptés.

Shizuku n’atteint qu’à peine (et difficilement) les 1m 61, elle a la peau extrêmement pâle et ses cheveux sont d’un rouge étrange oscillant entre le rouge vif et une couleur un peu plus pâle, tendant presque sur le rose. Ajoutez à sa petite le fait qu’elle a une carrure plus que frêle et toute fine lui donnant des airs de fillette apeurée. Elle laisse retomber ses mèches de cheveux un peu n’importe comment sur son visage, couvrant ses deux pupilles couleur argent, sans vraiment chercher à les coiffer. Ses yeux sont en effet d’une teinte si claire qu’on les croirait presque argentés, accompagné de la peau blanche caché d’aspirine, ils forment un drôle de contraste avec les cheveux clinquant de la jeune Neko. Les traits de son visage sont fins et marqué d’innocence, on pourrait presque remarquer sa naïveté d’un simple coup d’œil sur elle. Sans oublier son sourire, qui, quelque soit la situation, semble toujours aussi rayonnant et sincère. Sa peau, même si marquée par ses années de vie dans la rue, est aussi douce et si lisse et blanche qu’on pourrait la prendre pour une poupée de porcelaine. Pour finir, elle s’habille simplement, avec ce qu’elle a sous la main, n’étant pas très exigeante.